UNE COMÉDIE BURLESQUE Présentée par Le Petit Fauteuil Rouge
Vous tomberez en plein conte et règlement de comptes à coup de formules magiques et de mots fratricides, une parodie avec beaucoup d’humour et de dérision.
Une rivalité entre deux sœurs, dont les rancœurs de l’enfance refont surface. Comme dans un conte classique « il était une fois » dans un vieux manoir : une méchante rancunière, une esclave hypocrite, une jeune soeur
crédule. Et au milieu, un miroir plus vrai que nature prisonnier de ce manoiret de ses secrets…
Vous assisterez à un mélange de potions, de
transformations…et même d’escargots… Prenez garde ! Il y a aussi quelques cafards qui traînent !!! Ce conte revisité anachronique s’annonce combatif…Mais…Bouche cousue !
On n’en dira pas plus !
Tarifs : 8€ / 6€ l’entrée Réservation au : 05.61.22.51.77
Cinq personnes font la queue, une seule première place, tous les coups sont permis. Avant tout une belle performance d’acteurs ! Cette pièce, féroce et débridée, possède l’alchimie des textes universels où chacun peut se voir comme dans un miroir, tout de suite et sans fard.
Avec une œuvre riche de plus d’une cinquantaine de titres, Israël Horovitz est le dramaturge américain le plus joué en France. Il perpétue de façon très heureuse la tradition du théâtre de l’absurde, en lui ajoutant une touche de réalisme à l’américaine avec un humour féroce et incisif.
Une création 2020 de la Compagnie La Réplique, mise en scène par Giselle Grange, avec : Murièle Modely, Jean-Michel Corvi, Bernard Meyer, Armand Reydet, Christophe Villain
Les mercredi 8 et 15 décembre à 20h30 – Durée 1h20
Les vagues passent mais la famille royale est insubmersible. Elle s’apprête à refaire surface, 14 mois après, à l’endroit même où l’avait surprise le premier couvre-feu !
Il y a dans Le Roi Victor une drôlerie opiniâtre et un comique impavide proprement stupéfiants qui évoquent autant Labiche et Feydeau que Jarry et Beckett, dont Calaferte assume crânement l’héritage en écrivain de la bêtise qu’il sait admirablement être, et ce n’est pas le plus facile.
Pas une ligne qui ne soit écrite pour provoquer le rire, au risque de ne pas faire rire tout le monde, car Calaferte n’a pas le rire consensuel. Le Roi Victor narre les désastreux effets d’une ascension trop rapide qui conduit une modeste famille de petits bourgeois jusqu’au sommet de l’Etat, tels des Perrichon étourdis par l’ivresse des cimes – au point de se déchirer pour une bribe de pouvoir comme les bourgeois petits qu’ils ne cesseront d’être. A la lumière des récentes révélations sur certains occupants des palais de la République, on se dit que Calaferte avait vu juste et qu’il faut plus que jamais prendre les grands humoristes au sérieux.
Gildas Bourdet
« Une femme sans envergure, des enfants indifférents, un père pensionné », et pourtant Victor a trouvé là-dedans la force de comploter suffisamment pour devenir le Roi de tout un peuple ! Le F4 de banlieue se mue en palais, mais un palais, si on n’y fait pas attention, « ça a tôt fait de devenir un nid de guêpes »… Après « La Police » de Sławomir Mrożek, le Théâtre du Soupe Tard aborde le deuxième volet d’un cycle de politique-fiction caustique avec « Le Roi Victor », une comédie déjantée de Louis Calaferte qui nous conte la chronique d’une prise de pouvoir pas comme les autres. Quoi que …
Cette représentation se fera dans le respect des règles sanitaires qui seront alors en vigueur.
Tarif : Participation libre mais nécessaire …
Au Centre Culturel des Minimes – 6 rue du Caillou Gris – 31200 TOULOUSE
La salle est chaleureuse mais le nombre de places est limité. La réservation est donc fortement recommandée auprès de Philippe par message vocal, texto ou appel au 06 52 14 27 91
Je porte une admiration sans borne à cet artiste de la bande-dessinée. Christian Binet me fait un grand honneur en m’accordant les droits de huit de ses oeuvres.
Depuis plus de quarante ans Binet dessine pour nous une extraordinaire galerie de personnages, d’où bien sûr émergent en particulier les rondes silhouettes des Bidochon. Mais si Robert et Raymonde seront absents de ce spectacle ceux qu’il donnera à voir n’ont rien à leur envier. Ce sont comme eux des gens ordinaires, croqués par le dessinateur au cœur de leur quotidien le plus banal : à la maison, au travail, en vacances, à l’apéro, devant leur télé…. De ces gens que l’on croise tous les jours dans la rue. Des anonymes, des quidams, des passants…
L’auteur pose sur eux la pointe de son crayon comme un chimiste la focale de son microscope. Il les tire de leur incognito pour observer leurs faiblesses, leurs préjugés, leur étroitesse d’esprit, leurs habitudes routinières, et cette gouaille un peu vulgaire qui compense leur sentiment d’impuissance face à un monde hostile dont ils ne saisissent pas tous les mécanismes.
Binet a t’il la dent dure ? Oui certainement. Pourtant, malgré le trait au vitriol une vraie tendresse se dégage de chaque dessin. Et finalement nous les aimons aussi ces êtres que nous qualifions un peu facilement de « français moyens » comme pour les amalgamer dans un unique bataillon de piètres individus dont nous aurions su éviter les travers.
Le dessinateur nous invite à l’humilité : quand nous rions d’eux, ne rions-nous pas aussi un peu de nous-mêmes ? « Tous les mardis c’est gratin d’aubergines » nous les présente en miroir déformant. Et il y a fort à parier que, dans le grotesque de leurs attitudes, nous discernions certains de nos défauts les plus inavouables.
Réservations : 05 61 22 51 77 / 06 64 91 39 88
Tarif: 13 Euros Tarif réduit 9 Euros
Distribution : Pauline Acard / Melody Vuano-Lasho / Fred Waller / Alain Régus
Mise en scène : Alain Régus
Spectacle coproduit par Raton Laveur Productions et La Troupe Michel Populaire.
CENTRE CULTUREL DES MINIMES Place au marché aux cochons 31200 TOULOUSE
John retrouve Catherine des années plus tard. Elle va devenir l’unique confidente de son étrange secret, et sûrement sera-t-elle la première à en deviner le sens. Ce secret va tisser entre eux le lien le plus intime et le plus profond jusqu’au bout de leur vie.
La Bête dans la jungle (The Beast in the Jungle) est une nouvelle d’Henry James parue en 1903 que Marguerite Duras a adapté pour le théâtre en 1962.
John………………………….. Albert Novelli
Catherine…………………… Catherine SALANE
Mise en scène : Vinko Viskic
Marguerite Duras (1914-1996)
De son vrai nom Marguerite Donnadieu.
Toute sa vie, elle a été en quête d’écriture, elle a exploré des formes et des genres, du roman au théâtre en passant par le cinéma et le journalisme. Elle est considérée comme une grande figure littéraire de la fin du XX° siècle.
Samedi 17 juillet à 20h30 et Dimanche 18 juillet à 19h
NOM DE LA CIE :Association « Le théâtre des Sens »
DESCRIPTIF DE LA PIÈCE :
C’est l’histoire d’un jeune couple de 25 ans, tous deux orphelins, oubliés des magazines à scandales mais dont l’envie de vivre les marie à leur majorité.
Une vie, à deux, qu’ils veulent la plus banale possible et remplie d’amour…
Mais rien n’est jamais aussi simple, un accident bouleverse la vie de Christine. Depuis, sa mémoire se réinitialise au jour de l’accident.
Chaque matin.
Depuis 5 ans.
Chaque matin se réveiller dans le lit d’un inconnu avec qui l’on s’est marié 7 ans plus tôt…
Leur routine est singulière mais immuable, jusqu’au jour où Christine rencontre le docteur Fournier, neuropsychiatre spécialisé dans les pathologies psychogènes atypiques..